Arrêter de fumer est un défi de taille. Lorsqu’ils viennent en séance pour la méthode JMV, de nombreuses personnes expriment des craintes, comme la peur de prendre du poids ou de compenser l’absence de nicotine par des aliments, notamment le sucre. Ces inquiétudes sont compréhensibles, car la cigarette affecte le cerveau et le corps de nombreuses façons.
Dans notre approche, nous travaillons en profondeur pour traiter les aspects physiques et émotionnels de la dépendance, en passant par le rééquilibrage des neurotransmetteurs, la gestion du stress, et un soutien émotionnel global, notamment avec les fleurs de Bach.
Comprendre les neurotransmetteurs et leur rôle dans l’arrêt du tabac
Les neurotransmetteurs jouent un rôle central dans les addictions, y compris celle au tabac. Ils influencent notre humeur, notre niveau de motivation et nos envies. Voici les trois neurotransmetteurs principaux que nous rééquilibrons en séance :
- Dopamine : Souvent appelée « l’hormone du plaisir », la dopamine est responsable de la sensation de récompense et de satisfaction. Fumer stimule sa libération, créant un sentiment de plaisir immédiat. À l’arrêt du tabac, le niveau de dopamine chute, provoquant parfois une sensation de manque. Nous travaillons sur ce neurotransmetteur pour éviter cette sensation de vide et réduire les envies de fumer.
- Adrénaline : L’adrénaline, quant à elle, est le neurotransmetteur du stress et de l’énergie. La nicotine provoque un pic d’adrénaline, offrant un coup de fouet temporaire. Lors de l’arrêt, le manque de nicotine peut faire ressentir un épuisement ou un stress accru. Dans nos séances, nous aidons à réguler l’adrénaline de manière naturelle pour pallier cette dépendance physique.
- Sérotonine : Ce neurotransmetteur est essentiel à la régulation de l’humeur. Avec l’arrêt de la cigarette, certaines personnes peuvent ressentir de l’irritabilité ou de l’anxiété en raison d’une baisse de sérotonine. En travaillant sur l’équilibre de la sérotonine, nous contribuons à stabiliser l’humeur, ce qui est crucial pour traverser cette période de sevrage avec sérénité.
Peur de compenser avec le sucre : un travail sur la dépendance au sucre dès la première séance
Une autre crainte fréquente chez ceux qui arrêtent de fumer est la peur de compenser le manque de nicotine par la consommation de sucre. Le sucre agit comme un substitut temporaire en stimulant la dopamine, reproduisant en partie la sensation de bien-être que la cigarette pouvait procurer. Cela peut conduire à une nouvelle forme de dépendance, accompagnée d’une prise de poids et de fluctuations d’énergie.
C’est pourquoi, dès la première séance, nous travaillons sur la dépendance au sucre. L’objectif est de prévenir ce transfert d’addiction, en renforçant la sensation de satiété et en équilibrant les neurotransmetteurs sans qu’il soit nécessaire de recourir au sucre. Ce travail anticipé permet de traverser le sevrage sans développer de nouvelles habitudes compensatoires, contribuant ainsi à un arrêt du tabac plus serein et équilibré.
La Candidose : une complication à prendre en compte
Beaucoup de personnes qui arrêtent de fumer présentent une candidose, une prolifération de levures (Candida) dans le système digestif. Cette situation entraîne une porosité intestinale, rendant difficile l’absorption de vitamines et de minéraux essentiels. Quand ces éléments nutritifs sont mal absorbés, notre capacité à gérer le stress diminue, ce qui complique encore l’arrêt du tabac.
Pour cette raison, nous travaillons sur la candidose et la santé intestinale dans le cadre de notre accompagnement. En rétablissant un intestin sain, nous favorisons une meilleure tolérance au stress, un élément clé pour réussir à surmonter la période de sevrage sans rechuter.
Le lien entre stress et tabac
Le stress est l’une des raisons principales pour lesquelles les gens se tournent vers la cigarette. Lorsqu’une personne est stressée, le geste de fumer semble apaisant, car il stimule la dopamine et l’adrénaline, offrant un soulagement temporaire. C’est pourquoi, lors de l’arrêt, le stress peut devenir plus intense et les tentations de compenser (par la cigarette, la nourriture ou autres) augmentent.
Grâce à la méthode JMV, nous abordons cette relation avec le stress. En séance, nous travaillons sur les émotions et apprenons à gérer le stress de manière plus équilibrée, ce qui diminue les risques de compensation par le tabac ou par d’autres substituts.
Le soutien émotionnel avec les fleurs de Bach
Pour renforcer l’équilibre émotionnel durant l’arrêt du tabac, nous intégrons les fleurs de Bach dans notre accompagnement. Ces élixirs floraux sont très utiles pour apaiser les émotions, en particulier le stress et l’anxiété qui surgissent souvent en période de sevrage. En rétablissant cet équilibre émotionnel, les fleurs de Bach offrent un soutien naturel qui aide à éviter les envies de fumer en cas de tension.
Arrêter de fumer demande un travail global sur les plans physique et émotionnel. Avec la méthode JMV, nous agissons sur les neurotransmetteurs, la gestion des dépendances alimentaires, la santé intestinale et l’équilibre émotionnel. En comprenant et en traitant les mécanismes de compensation, de stress et d’envies, notre accompagnement permet d’arrêter le tabac sans développer de nouvelles habitudes compensatoires, pour un sevrage plus serein et durable.
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N’oubliez pas : nous ne pratiquons aucun diagnostic médical, et les techniques proposées ne se substituent pas à un traitement médical. Elles viennent en complément pour vous aider à mieux gérer votre santé et votre bien-être.